Des histoires plus personnelles, à raisonnance plus larges, des histoires de femmes, de doutes, de victoires, de messages, d’estime de soi, d’expression de soi !

Même si ce n’est pas ce qui se dit, c’est souvent ce qui se fait !
Grâce à ce titre quelque peu imagé, j’avais envie d’évoquer le pouvoir de l’encouragement, de l’accompagnement.

Ces autres avec qui je suis autre

A la fois dans la famille, dans l’entreprise, dans les médias, nous entendons aujourd’hui beaucoup de discours, de prises de conscience, sur la communication non violente, le management humain, la solidarité. Mais que c’est difficile d’en voir les concrétisations au quotidien, et peut-être même que c’est encore plus ardu d’appliquer ces principes avec nos proches, nos amis voire nos collègues : les gens avec qui l’affect ou la proximité sont présents.

N’est-il pas plus facile de reçevoir un client, de répondre à un inconnu, avec politesse, sourire, écoute, et paroles bienveillantes ? Cela semble fou quand on y pense, pas de bien parler au client bien sûr, mais de ne pas toujours savoir le faire avec ses proches …

Ces proches avec qui je suis mon pire moi

J’aimerais que ce billet ne soit pas reçu comme un jugement, ou une leçon de morale. J’aimerais juste que ce billet nous rappelle parmi tant d’autres sollicitations diverses, cet enjeu à mieux vivre ensemble. Je vous encourage, et je m’encourage en même temps à persister dans notre quête d’une plus grande douceur de vivre. Même si nous avons tous les meilleures raisons du monde de nous en tenir éloignés, et parmi celles-là, juste 2 que j’ai envie de préciser :

L’implication émotionnelle

Avec les proches, nous avons tendance à penser que comme ils nous aiment ou que nous sommes dans un cadre sécurisant, nous pouvons nous autoriser à lâcher sur eux nos frustrations accumulées à l’extérieur. Sans doute aussi qu’avec nos proches, nous ne pouvons pas en rester aux échanges et broutilles de surface, la vie quotidienne nous amène à vivre ensemble des moments plus délicats, d’échec, d’essoufflement, de remise en question. Et si nos proches ont besoin de notre aide, nous sommes tout à fait capables de ne pas être bons du tout ! La pure confiance qu’ils nous font nous destabilise. Leurs faiblesses nous renvoient aux nôtres ou à nos incapacités à les dépasser, et on leur ferait payer ?

Notre habitude qui consiste face aux difficultés de nos proches à :

– mettre la pression : ” quand même c’est facile, y’a K si, un peu de volonté que diable ! , faut te bouger maintenant !
– ou dénigrer ” mais non t’es nul, qu’est ce qu’on va faire de toi ! arrrrh !
– ou à les laisser tomber régulièrement, espérant que le mauvais moment se passe.

Ces attitudes trahissant que nous sommes excédés, cache aussi notre déception quand on se rend compte que nos enfants, parents, amis que l’on voulait ou espérait parfaits, ne le sont pas,  n’y arrivent pas toujours. -Réussir sa vie sur tous les plans- nous voudrions tellement que eux y arrivent, alors que nous-mêmes n’y arrivons pas non plus …

Exemple :
Quelqu’un qui n’a pas fait d’études, qui en priorité financerait celles de ses enfants, avec une attente implicite : l’ obligation pour les enfants de réussir. Ce quelqu’un qui tombe de l’armoire, en cas d’échec de ses enfants, “ces ingrats”, pourrait-on dire ? En leur coupant les vivres, sûrement que les choses vont se rétablir, ils vont décoincer, c’est sûr !

Seulement était-il là ce quelqu’un pour entendre, écouter, accompagner ses enfants lors des difficultés rencontrées pendant leurs études, les problèmes de confiance, les premières amours, et expliquer certains rouages de la vie ?

La difficile mission d’éducation

En opposition avec nos envies d’adulte de vivre des relations humaines apaisées, constructives, s’agitent nos réflexes acquis pendant l’enfance : En 2012, Ils ne sont pas encore si nombreux ceux qui ont reçu une éducation sur le modèle de la communication non violente, ou de la stimulation positive de nos talents personnels.  L’esprit de compétition, la loi du plus fort, la carotte et le bâton sont davantage légion dans nos souvenirs, et du coup dans notre présent aussi.

En conséquence, au milieu d’une situation comme la réception du bulletin de notes de notre enfant chéri, le bouillonnement intérieur ne se fait pas attendre : ” il se fiche de moi, il n’en fout pas une”, tu crois que tu vas sortir samedi avec ces notes là,  etc…” Il faut faire un gros effort pour que ce ne soit pas cela qui sorte de notre bouche (et parfois cela sort quand même..)

En fait la peur de trop chouchouter les gens qu’on aime reste forte :  les assister et si jamais ils n’arrivaient à s’en sortir par eux-mêmes… Trop de douceur serait en décalage avec la dureté du monde extérieur. S’entraîner à la dureté, au rendement, au pragmatique et à l’obéissance, serait une éducation plus proche des réalités. Le vivre ensemble avec écoute et respect viendra plus tard ?

Simplement la carapace acquise à force d’entraînement à nier ses propres besoins et envies, implique des violences faites aux autres : “moi je me suis débrouillé tout seul, donc fais pareil, je ne bougerai pas le petit doigt”….

Pousser l’autre à penser qu’il n’en fait jamais assez,  qu’il est incapable, le pousserait à décupler sa ressource pour se dépasser ? Heureusement Cela semble acquis pour beaucoup que non, c’est contre-productif …mais faire autrement est un apprentissage de tous les instants.

le blog terrrasens, cosmétiques bio de haute efficacité

Il me semble essentiel d’attirer notre attention sur le fait que si nous souhaitons inspirer aux autres d’être acteurs et actrices de leurs vies, que ce soit nos enfants, nos connaissances, nos clients, ce n’est pas les assister que de leur donner un mode d’emploi, des pistes à expérimenter et une attention bienveillante, sans attentes, afin que le moment venu, ils se sentent suffisamment confiants, encouragés, pour aller chercher leurs rêves, réaliser leurs aspirations et changer un bout de monde autour d’eux.

Nous sommes tous pareils, nous avons fondamentalement besoin d’amour, d’attention, et de progresser, afin de devenir peu à peu acteurs de notre vie. Si nous apprécions pour nous-même d’être valorisé, encouragé car cela est motivant à bien faire les choses, rappelons-nous de le faire aux autres aussi. Nous pouvons donner si au préalable nous sommes riches d’estime de soi, de confiance. Nous avons à apprendre à remplir notre réserve d’amour. Au départ on nous donne de l’amour, puis (idéalement) on nous apprend comment en donner, afin de savoir nous en donner à nous-même et le partager.

En écrivant ce billet, je voulais passer le message que certes nous pouvons constater nos travers, nos manques, mais ne pas les juger, ne pas les nier non plus. Notre éducation n’est pas une fatalité, les habitudes culturelles non plus : nous pouvons changer des choses dans notre vie au fur et à mesure, petit à petit. Alors en reparlant de ce pouvoir de l’encouragement aujourd’hui, je me dis que c’est juste une petite pierre de plus à la construction d’une société plus cohérente.

Que chacun tienne l’échelle pour un autre (et vice versa) ou l’aide à fixer l’échelle solidement, afin que l’artiste au pinceau, présent en chacun de nous peigne sereinement et avec le goût de créer du beau ! Tout le monde en sera comblé, et inspiré. ICI ET MAINTENANT.

Finalement

Il s’agit en fait d’amour inconditionnel : Vivre avec l’autre sans attentes, accompagner, partager, en le laissant libre de ses expériences. En n’attendant rien de précis, nous reçevons bien plus et de tous horizons, que si nous espérons reçevoir quelque chose de la part de quelqu’un en particulier. Alors prenons soin de notre bien-être, aidons les autres à respecter le leur aussi, et laissons la vie s’occuper du reste, c’est à dire de nous faire de belles surprises…

Ce que je raconte sur la peau, les crèmes, et l’existence est intimement relié : tout ne se fait pas en 1 jour, et nous ne réalisons pas toujours les freins qui nous freinent ( pertinent !) pour se sentir actrice de son bien-être, de sa vie. Mais si le frein est levé, alors…

C’est dans cet esprit que j’ai imaginé mes soins Heuliad : une façon de concrétiser du bien-être au quotidien. Mes soins, c’est ma façon à moi de faire vivre cette idée d’encouragement : encourager la peau, s’encourager soi-même, et encourager l’autre à regarder la vie (la beauté) sous tous les angles, pour gagner en liberté, et surtout la sentir en SOI. Que c’est bon de sentir ça !

Non ?

Je suis au bout de l’écran pour répondre à vos questions, au plaisir !

Crédits photos : ©-olly-Fotolia.com

 

Le comble du stress

J’ai lu il y a quelques semaines “le petit traité de vie intérieur de Frédéric Lenoir”.  J’ai laissé mijoter, tant ce livre est un concentré d’inspirations pour attirer à soi une vie douce et heureuse, en toute simplicité. Ce dont je me rappelle tout particulièrement c’est ce paragraphe qui explique que par le passé,  nous avions des excuses puissantes pour ne pas nous réaliser : la pression religieuse, sociale, politique, voire l’oppression ou la pauvreté extrême.

Aujourd’hui les circonstances ont évolué, chacun sait de mieux en mieux que nous avons le choix, nous pouvons décider de nos vies, nous pouvons oser suivre nos rêves.
Et  finalement cela en devient extrêmement stressant ou angoissant. Il est moins aisé d’accuser l’autre de ses échecs, d’attendre la chance, de rester en coulisses pour critiquer le spectacle qui se joue. Cette opulence de choix, cet océan des possibles devient une cause majeure de paralysie : la difficulté à s’engager, la peur de se tromper se fait régulièrement sentir… Parfois nous donnerions beaucoup pour que quelqu’un nous prenne par la main et nous emmène là où nous pensons que la vie exprime ce qu’elle a de plus léger et exaltant : ailleurs !

Etre responsable de son bonheur n’est pas si confortable…

D’autant plus que chacun ne naît pas avec la même facilité à trouver son bonheur. Je me suis reconnue parmi celles et ceux, qui doivent faire un travail sur eux-mêmes pour retrouver leur nord. Je connais aussi des personnes qui ne verront jamais un psy, ou autre, et qui ont cette sérénité, cette évidence du sel de la vie : rencontrer l’autre avec simplicité, être soi, être utile, être joyeux, collaborer à des projets collectifs… C’est ainsi.

Avoir à travailler sur soi n’est pas une plaie ou un handicap, c’est une conscience que les choses peuvent aller mieux, que certaines vérités qui se sont imposées à nous n’en sont pas. Travailler sur soi se vit bien souvent comme une lutte, alors que fondamentalement, c’est une réconciliation.

J’ai trouvé dans ce petit traité de vie intérieure une belle synthèse des repères à expérimenter pour laisser émerger en nous la sérénité comme d’autres l’ont déjà fait. J’ai souri au chapitre “la règle d’or” car c’est la seule chose que j’avais retenu depuis petite de mes cours de catéchisme, et que je garde au chaud près de mon coeur, comme une boussole : “ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse”. C’est tout simple, mais quand d’autres repères n’ont pas ou plus de points fixes ou solides pour guider notre vie, celui-là le sera encore longtemps.

Je vous laisse découvrir ce joli livre,  et son auteur : Un parcours atypique et encourageant car il réussit à incarner cette sérénité, de celui qui a sa place, ni plus, ni moins, en toute imperfection !  ( Cliquez sur l’image de la couverture du livre pour en savoir plus )

 

petit traité de vie intérieure

Le courage d’être vulnérable

Si comme moi vous avez endossé une carapace solide, pensant qu’il fallait se préparer à lutter sans cesse dans la vie, à rester “forte” devant l’adversité, j’aimerais partager avec vous 2 vidéos de Brené Brown. Peut-être les connaissez-vous déjà, car elles sont des best-sellers.

Mais les revoir est tellement riche. Une nouvelle écoute révèle toujours des messages supplémentaires et aide à fissurer jour après jour la carapace.  J’ai vu la 1ère de ces vidéos à l’automne dernier, et j’étais heureuse de voir expliquer les relations humaines de cette façon. Céline Boura l’a rediffusé il y a peu pour nous dire à quel point cette prise de parole de Brené Brown incarnait la magie de l’authenticité… le pouvoir de la vulnérabilité. Une 2ème vidéo vient de paraître, la suite…

Tout ce que je pourrais dire sur ces vidéos est superflu, je vous invite à les regarder, à écouter ce qu’elles peuvent changer dans votre vie.
Vous en saurez plus sur ces notions abstraites par nature  :  “être soi”, “oser”, “avancer avec courage”… afin de semer des graines de réalité dans votre vie une fois que la vidéo se sera arrêtée…

I am enough

Bonne lecture ! et revenez me dire si vous en avez envie, ce que vous avez retenu, ce qui vous a touché, ce que vous décidez de faire à la suite des ces écoutes… si cela vous encourage en quoique ce soit.

Pour ma part, ce blog est le fruit de cette envie d’être soi, et d’entrer en relation avec vous, vraiment. C’est une joie réelle ! Je remercie toutes celles ou ceux qui me lisent, je vous souhaite une magnifique journée. Au plaisir de faire votre connaissance un jour ou l’autre !

Si vous regardez ces vidéos, vous comprendrez pourquoi je vous dis de tout mon coeur :  “moi aussi” !

Vous pouvez sélectionner un sous-titrage en français…

Vidéo 1 : le pouvoir de la vulnérabilité

brene brown video TED en français

Vidéo 2 : Ecouter la honte

brené brown video TED
Crédits photos : Natalia klimova (Witanddelight.tumblr) Frédéric Lenoir, Brené brown, Ted, google.com.au

Cruel et fréquent constat

C’est douloureux, frustrant, agaçant et décourageant ! toutes ces personnes qui réussissent, qui ont des clients, des amis, des fans, qui sont en avance, qui ont eu la même idée que nous, mais avant nous (et tous ceux qui font ce que nous avions en tête, pendant que nous hésitons …) . Sans oublier la culpabilité, parlons-en, celle qui nous fait nous sentir mal et bien seul au milieu d’une foule enthousiaste, ou même parmi quelques amis qui trouvent merveilleusement inspirants ou talentueux ce dernier livre de cuisine, ce concept de magasin, ce changement de métier, cette décoration…

Mais comment font-ils tous ces “modèles de réussite” pour être invités partout en connaissant tout le monde, pour paraître dans des journaux prestigieux, être sur les plateaux télé ?  Et dire que cela pourrait être moi, avec mon idée derrière la tête … mais non c’est évident que non !  ils font cela tellement mieux que moi…. Quelle prétention de ma part de vouloir jouer aussi au jeu de la vie, je n’arriverai jamais à rien !  je n’ai rien à inventer, ni à apporter, tout n’est que répétition, la vie n’a plus de recoin vierge…

Tout cela vous est-il déjà passé par la tête ? moi oui bien sûr ! et cela se soigne rassurons-nous ! Notre ego nous donne du fil à retordre, cela met du piment…

A la manière quantique

Quand une idée nous vient, soit nous avons vu cela ailleurs et on se voit bien le faire aussi, … soit on l’a vu nulle part mais en cherchant sur internet, ou en allumant la télévision, tiens comme par hasard, on vous raconte la belle histoire d’une réussite éclatante avec cette idée ! rares sont ceux qui inventent quelque chose, qui sont les 1ers de chez 1ers à se lancer. Paraît-il même que les inventeurs reconnus ne sont pas si souvent les vrais premiers à avoir inventer, mais qu’importe, parce qu’en fait c’est QUANTIQUE.

Nos cerveaux humains sont comme des émetteurs de radio, ils émettent des ondes et raisonnent avec les ondes similaires à des milliers de kms à la ronde. Quoi ? vous avez des yeux écarquillés, je le devine… En clair quand vous avez une idée, vous allez naturellement être mis en lien avec ceux qui sont sur votre longueur d’onde... Est-ce mieux dit comme cela ? C’est pour cela que quand vous apprenez que vous êtes enceinte, vous voyez des femmes enceintes partout, que quand vous achetez une voiture originale et rouge, vous en voyez d’un coup beaucoup autour de vous, ou qu’un chercheur ayant une idée à New York aura instantanément un concurrent à l’autre bout de la terre. C’est une loi de la vie, de la terre : la loi d’attraction,  au même titre que la gravité, l’idée c’est de jouer avec plutôt que de lutter…

Il est dommage de ne pas se lancer dans un projet parce que d’autres l’ont déjà fait. Il est vain d’attendre l’idée géniale que nous serons le seul être humain à avoir…. En une seule fraction de seconde, nous n’avons plus d’excuses pour ne pas oser réaliser ce qui nous tient à coeur…

talents

On a beau le savoir

Derrière cette peur de ne pas écouter son envie, il y a souvent cet auto-jugement très critique, qui dit que nous ne sommes pas la hauteur. Nous trouvons toujours mieux ce qu’à fait l’autre, sa façon de le dire, de l’écrire. Je sais que si je vous dis mais vous, VOUS le faîtes différemment, à votre façon, que vous avez votre propre style, inimitable par nature. Qu’il y a de la place pour tout le monde, que chacun a son rôle à jouer, que le vrai besoin c’est de vivre auprès de gens passionnés et sincères dans leur métier. Cela vous rassure sur le moment mais plus tard, ce sera de nouveau oublié, le doute reviendra. Même si c’est bon signe d’avoir ce recul sur soi, dans une certaine mesure, il reste bénéfique de douter,  de remettre les choses en question, de bouger les lignes, de ne pas rester aveuglés par ce qui a marché ou pas par le passé. Aujourd’hui c’est aujourd’hui.

Pour sortir de ce cercle vicieux, “j’ai envie, j’en vois plein qui le font, mais je ne me sens pas à la hauteur et je ne vois pas que je ferais de si différent”, et bien c’est soit de  :

  • se faire coacher le temps du décollage, avec des personnes qui vous aideront à structurer votre originalité, à regarder autrement vos freins et doutes.
  • soit de se lancer seul, en proposant sans compromis ce que vous avez en tête, exactement ce que vous avez envie de faire, le dire, l’écrire, l’annoncer et vous laissez ainsi entrer la vie (le soleil aussi, il y a des chances ). Ce passage à l’action vous donnera la réponse en LIVE : Avez-vous du plaisir à faire ce que vous faîtes ? les autres, ne serait-ce qu’une ou deux personnes au début sont heureuses de voir votre projet sur pied (en plus de votre maman, et de votre papi ! ), offrez-vous un miroir réel, un ressenti concret.

La loi d’attraction implique que vous allez attirer irrémédiablement dans votre vie ce à quoi vous pensez le plus souvent : quelle chance ! Si vous voyez partout des concurrents, c’est que votre projet, votre envie et vos pensées sont puissantes et que vous avez tout à gagner à choyer ce projet. Les personnes, les lieux, les objets qui se présentent à vous sont des encouragements, des accélérateurs, des souteneurs de moral. Regardez-les, écoutez-les, rencontrez-les, c’est comme cela que vous allez construire pas à pas votre différence, vous trouverez forcément votre touche personnelle, et votre public. Vos concurrents devraient être vos meilleurs amis, pour stimuler votre imagination et pour vous entraider à être différent, efficace et épanouis.

Quand je passe dans une ville que je ne connais pas, j’ai l’oeil pour repérer les instituts de beauté, les spas. Je ne pourrais pas vous dire si il y a une boulangerie, mon oeil  est attiré par les instituts, les spas, aussi les thérapeutes. C’est ainsi, c’est juste un signe que ma vocation est par là, que j’ai à créer autour de ce métier… et Que ma pensée crée ma réalité !

Aimant…

Nos pensées sont un aimant, comme notre être tout entier : à nous de nous concentrer sur ce que nous aimons, ceux que nous aimons aussi, et donnons aux autres ce que nous voudrions reçevoir… puis laissons la vie nous répondre, lâchons-prise sur ce que la vie répond, observons simplement. Pour les choses ou les personnes qui ne nous conviennent plus, remercions-les de la chance qu’ils nous offrent de prendre soin autrement de nos pensées, d’affirmer nos envies, de faire des voeux… pour attirer ce que nous voulons vraiment dans notre présent.

affiche tous canditats en 2012

Vous le faîtes tellement bien, soyez-en fière et partagez-le..

Je vous écris tout cela car j’adore les histoires de personnes qui se découvrent un talent, et qui osent finalement le mettre en scène dans leur vie. Comme une femme qui se découvre des talents de couturière, alors qu’elle est secrétaire depuis 15 ans, et qui se lance à confectionner des chapeaux, mille chapeaux enchanteurs. Chaque personne a du bonheur à partager, et une personne heureuse fait tellement de bien autour d’elle ! Le monde a besoin de bonheur, de gens heureux, de beauté …. et je ne connais pas de projets, de talents venus du coeur, ou du fond de son âme qui ne soient pas bénéfiques pour les autres, ou pour la planète.

Qu’avez-vous trouver de précieux en vous ? J’ai hâte de le découvrir, venez nous raconter vos découvertes ! (ou vos débuts de découverte !)

J’ai retrouvé un texte que j’ai écrit par le passé, un jour plutôt “sans”, et je le partage avec vous en guise de point final de cet article :

J’irai au bout de mes rêves

“Tout au bout de mes rêves… là où la raison s’achève
Même si les années qu’on me laisse ne sont minutes et jours..”

Même si créer une marque de soins, parmi toute l’offre actuelle peut sembler perdu d’avance
Même si je ne sais pas toujours de suite pourquoi je vis certaines péripéties
Même si je fais des erreurs encore et toujours
Même si je me sens seule parfois dans la foule
Même si je n’aurai jamais 100% de clients heureux et fidèles
Même si se faire connaître est un sacré défi

Je travaille pour celles et ceux qui aiment Terrasens
Je travaille pour participer à mon niveau à un monde meilleur, plus respectueux
Je travaille en prenant plaisir à créer, à surprendre, et à aller parfois contre le courant dominant
Je travaille avec l’envie de faire de mon mieux
Je travaille pour faire connaître d’autres créateurs et belles personnes

Je travaille pour oser être qui je suis
Mes crèmes de soins révèlent à mes yeux toute la beauté du monde et par effet effet miroir, toute la beauté en soi…

Mes chers clients je vous remercie de votre confiance, et de votre fidélité
Je compte sur vous pour compter sur moi pour vous offrir des crèmes de soin de la plus haute qualité, de l’écoute sur mesure si vous le désirez, et de l’inspiration pour être bien dans votre peau, être vrai et réaliser vos rêves.

Chaleureusement, Elise Le Pallabre

Crédits photos : imgfave.com

J’ai senti que je devais y aller.

C’était Lundi 26 Mars à Paris ( il n’y a toujours pas la mer mais on ne peut pas tout avoir…)

Selon les organisateurs l’idée c’était, je cite : ” Parce qu’il y a plein de gens qui font des trucs géniaux en France et qu’on voudrait que ça continue, nous avons décidé de passer à l’ACTION : Créer un forum pour mettre en lumière la créativité et l’innovation en France…www.osonslafrance.com (Ajout 2016 : qui n’existe plus aujourd’hui…)

Forum créatif et inspirant

Effectivement cela a été une avalanche de talents, d’entrepreneurs surdoués, qui parlaient avec passion et simplicité de leurs choix de vie, de leurs stratégies.
C’était très plaisant et inspirant de les voir raconter leur parcours et dire comment ils ont osé . Entreprendre et oser sont quasi synonymes, le premier impliquant le deuxième ( mais le 2ème reste un défi permanent pas si simple )… Le point commun de tous : ils ont perçu un manque, un vide dans leur quotidien au travers d’une rencontre ou d’une expérience “toute bête” bien souvent !

Par exemple :

  • Comme l’entrepreneur Julien Combeau qui malgré ses hautes études de droit et de commerce se sentait démuni pour construire un certain type de tableau sur excel, et qui ignorait qu’il avait l’amie de son colocataire qui elle était une pro en la matière : d’où l’idée, très pertinente à mon sens, de créer un site internet qui réunirait ceux qui savent, et ceux qui veulent apprendre, sur tout type de sujets : Celui qui sait met en ligne le cours qu’il peut proposer : celui qui veut apprendre s’inscrit et une classe se forme avec des participants motivés car ils ont besoin à un moment donné d’une connaissance précise. L’idée sous-jacente porté par Julien Combeau c’est que faire des études ne signifie pas que nous n’aurons pas à nous former toute notre vie afin de saisir des opportunités de travail. Reprendre un cursus “scolaire” pour changer de métier n’est pas toujours judicieux, mais approfondir une notion ou deux qui peuvent être des lacunes, là cela devient très intéressant. Une école de la vie adaptée au moment où l’on a besoin d’apprendre.
    Julien Combeau a entrepris de ( pour ) changer les choses   avec LEEAARN. (Ajout 2015 : Entretemps le site n’existe plus malheureusement)
    Son message : “Oser,  se cultiver par des rencontres”
  • J’ai aussi trouvé très maline l’idée de 2 entrepreneurs qui ont crée Capital Koala. Quand vous achetez sur des sites commerçants partenaires ( + de 1000 à ce jour parmi les plus connus ), une partie de vos achats est versée sur le livret d’épargne de vos enfants. Ce site s’est dit que épargner n’est pas ou plus très simple, mais que consommer nous le faisons tous. Ils ont alors négocié une moyenne de 6% de remise auprès des commerçants pour alimenter le livret d’épargne. Une bonne idée pour financer, permis, études ou autres projets éducatifs ! Toute la famille, grands parents, tontons, tatas, peuvent faire de même pour contribuer aussi au livret de vos enfants… A approfondir …
  • J’ai découvert aussi l’institut des futurs souhaitables, original non ? créé par Mathieu Baudin qui se définit comme “rêveur des possibles”  pour réhabiliter le temps ( le durable ) dans les prises de décision. L’institut est un laboratoire d’idées, de réflexions sur notre temps et ses enjeux ( économiques, environnementaux, humains) mais pas que !  Il s’agit pour l’institut de mettre en pratique ces prospectives grâce à des formations, ou des voyages qui mélangent les profils et les âges ( entrepreneurs, universitaires…) pour faire émerger du concret !  Selon les mots du fondateur : “la formation doit mener à la transformation”. Les personnes formées deviennent “des actrices de la métamorphose”. Il s’agit en clair “d’un projet de conspiration positive” ou encore de mettre en valeur “l’optimisme offensif”, autrement dit, un optimisme qui dit pourquoi nous avons des raisons de l’être.
    Pour connaître le programme, et cet univers prometteur c’est par ici : futurs-souhaitables.

Pédagogie, oui !

Il y avait aussi des universitaires et des professeurs, et je dois avouer que j’ai une admiration qui ne se dément pas pour ceux qui savent passer un message, donner le goût d’apprendre, et apprennent vraiment quelque chose aux auditeurs. Comme Christian Moujou qui a comparé les facettes de l’entrepreneuriat avec une série de tableaux d’art, pour nous inspirer tout au long de son discours de “retrouver le jeu dans l’entreprise“, à l’image de l’enfant puisqu’il n’y a rien de plus sérieux que l’enfant qui joue…
Il rappelle aussi le mot de Baudelaire : “le génie, c’est l’enfance retrouvée à volonté” pour mettre à notre portée l’innovation : regarder l’existant avec le regard d’un enfant, ne pas penser que l’innovation n’est que l’apanage de quelques uns, chacun peut innover. A nous de jouer !

une fleur en fleur

 

Après infusion…

J’ai appris de cette journée que chacun est talenteux et génial à sa façon, que nous avons les clefs de notre épanouissement en nous, que la rencontre avec les autres nous aident à en prendre conscience, à oser jouer avec ces clefs, qui feront naître des projets porteurs de sens et de bien-être pour tous. L’entrepreneuriat est un chemin ardu mais tellement épanouissant car c’est un chemin, parmi d’autres bien sûr, pour toucher du doigt, voire embrasser, le sens de la vie, le goût de l’émotion partagée, et l’émerveillement tout simplement…

J’ai choisi depuis mes 21 ans d’entreprendre, j’aurai aussi pu continuer les études commencées pour devenir prof d’histoire . Ces 2 métiers sont séparés bien souvent mais je réalise aujourd’hui que ma touche personnelle c’est d’entreprendre tout en accompagnant les clientes pour qu’elles s’approprient un savoir, et développe une attitude créatrice face à la vie. J’aime bien l’idée d’honorer un savoir ancestral, tout en concrétisant aujourd’hui un produit innovant, et qualitatif. Une prof entrepreneure ? qui a défaut de parler d’histoire, invite chaque personne à jouer le rôle de sa vie, à créer son histoire. L’avenir  me dira si mon intuition est juste  : que ce nouveau métier a une vraie utilité pour allier réflexion et action.

Nota Bene :

J’ai noté aussi le projet pertinent de Carnet de mode, inspiré par My Major Company dans la musique : pour lancer des créateurs de mode, les clientes choisissent, et financent leurs tenues coups de coeur parmi les précollections . Le client qui “parie” bénéficie de 40% de remise sur le prix de vente futur, ainsi quand le nombre de clients est suffisant, le créateur lance la fabrication et fait naître sa collection en vrai. Le client qui “parie” percevra aussi une commission de 10% sur les ventes des robes à prix normal. Avis aux amatrices de mode …
Je vais réfléchir sérieusement à ce concept pour Terrasens !  Suite au prochain épisode…

Et vous quelle est votre touche personnelle ? Au plaisir de vous lire !

Crédit photo : google.com, Elise le Pallabre