Le bien-être pour l’expression de soi ?

Je voudrais remercier une connaissance que j’ai croisé l’autre jour car elle m’a dit spontanément : “mais finalement qu’est ce que tu fais ? j’ai lu certains articles de ton blog mais  tu sais je suis habituée à des choses plus terre à terre, alors avec toi je  m’y perds ! Et puis tu sais les crèmes qui changent la vie, je n’y crois plus depuis longtemps, je veux juste une bonne crème !”

Bien! je vous avoue que cela réveille !

J’écris depuis janvier sur ce que je fais alors je me suis dit à mon tour : ok, j’entends, et je vais faire de mon mieux pour aller (aussi) à l’essentiel. J’ai cru que ce serait simple mais finalement…ma tendance à rebondir sur toutes les facettes d’un sujet me joue des tours….

Un blog on l’écrit seul mais pas seulement pour soi, et le but avoué c’est de créer l’échange, la prise de conscience, et évoluer…

Si je parle autant de tout “sauf” de crèmes, c’est parce que je crois vraiment que choisir sa crème en connaissance de cause nous mène bien plus loin que la frontière de la peau. Tout ce qu’il y a autour de la crème est même essentielle pour choisir finalement une crème qui nous va bien.

Le bien-être pour l’expression de soi, ce titre qui définit mon approche, dit tout et ne dit rien, me direz-vous ?

Le bien-être est à la fois une quête, un moment, des moments, mais à mon sens, nous le cherchons pour in fine arriver à exprimer notre originalité, à rencontrer les autres en restant soi, à être utile au  monde parce que nous savons ce que nous pouvons apporter d’unique, et surtout oser le faire . Etre bien ici et maintenant avec les autres.

Cet état de sérénité passe par toute une série de décisions personnelles, choisir sa crème en fait partie, et mène de toutes les façons à se poser la question pour tout ce qui entre dans notre vie. Alors l’air de rien, mais surtout pour qui s’y intéresse, oui une crème peut changer la vie, comme un voyage peut changer la vie, comme une rencontre aussi…

Bref, je reviens à nos moutons : Je vous propose une ligne de soins, des produits cosmétiques si vous préférez, mais le mot “soin” donne le ton pour symboliser des crèmes de haute qualité naturelle.

ouverture-sur-le-monde-heuliad

Le défi c’est de proposer 1 crème qui en remplace 1000 (ooops, je m’emporte là !) , qui en remplace bien 3 ou 4…

– qui rééduque la peau plutôt que de la beurrer de chimie,
– qui se révèle en fait bien plus efficace pour corriger nos imperfections
– qui fait vivre en amont des personnes de talent, de coeur et des producteurs durables.
– qui invite à sentir, à choisir vraiment sa crème (que ce ne soit pas la crème qui vous choisisse via un marketing surdoué)
– qui invite aussi à évoluer sur ce qu’on croit savoir des crèmes,  à apprendre
– qui suscite un réel plaisir des sens,
– qui nous emmène bien plus loin que prévu avec bonheur, grâce à des réflexions plus profondes et plus globales sur la vie.
– qui relance la mode des relations commerciales enjouées, des comédies romantiques et les chansons de Jean-Jacques Goldman…( cela ne se voit pas, mais je ris d’écrire cela…)

Tout cela  change un peu la vie tout de même, non ?

J’ai à coeur de ne pas simplement vendre des produits, mais de vous accompagner grâce au blog, à mes explications, ou à mes conseils. J’aimerais également proposer très bientôt, et en complément, des prestations payantes comme le scénario Heuliad pour tous ou d’autres réservées aux professionnels : je ferai très bientôt un article sur “MON OFFRE” afin d’y voir tout à fait clair.

Ces prestations payantes sont une possibilité qui vous est offerte d’aller plus loin mais je ne vous pousserai pas à les choisir si l’envie ne vient pas d’abord de vous : je propose, vous disposez en toute liberté. Chacune n’a pas les mêmes freins à prendre soin d’elle, la séance plus poussée, plus personnalisée peut avoir son utilité.

Ce qui est certain c’est que mes conseils pour utiliser les produits sont gratuits, ma disponibilité pour vos questions, vos doutes, vous est acquise. Je trouve cela parfaitement normal d’avoir des questions sur une marque, des produits qui ne disent pas la même chose que tout le monde, qui n’est pas vu à la télé, et  qui n’a pas d’égérie connue pour se faire connaître.

En lien avec tout cela, je vous propose : une journée Facebook demain (25 Mai 2012), de 10h à 17h je serai en ligne sur la page terrasens pour vous répondre. Alors n’hésitez pas ! que ce soit demain ou plus tard, n’hésitez vraiment pas !

Vos avis, vos points de vue, vos interrogations sont précieux à mes yeux pour mûrir Heuliad.

Serez-vous là ? Moi oui !

Vivre c’est faire des expériences dans lesquelles vous apprenez à être
Elise Le Pallabre

Découvrir les crèmes de soin Heuliad

Crédits photos : fotosearch-goodshoot, moi.

Très belle journée avec JJG…

est aussi juste sous nos yeux, pour moi c’est en Bretagne, à Fort-Bloqué…

J’ai tellement été enchantée de ma ballade en famille ce dimanche matin, que je partage avec vous ce que j’ai pu admirer sur mon chemin…

Les photos sont aussi des photos du dimanche mais, c’est le message qui compte n’est ce pas ?

Ces petits bonheurs de la contemplation sont des sources de bien-être essentielles pour être actrice de sa vie : saisissons ces moments qui sont nos boussoles pour ne pas perdre de vue ce qui est juste et bon pour nous …

Très belle journée à vous, à regarder autour de vous, à sentir, respirer, et à vous émerveiller de cette beauté omniprésente … qui sait si cela ne vous mènera pas à y voir plus clair en vous…

bord de mer en bretagne fort bloqué

beauté bretagne fort bloqué plage

plage bretagne fort bloqué

plage de fort bloque

focus sable bretagne fort bloqué

plage fort bloqué

 

Heuliad a imaginé l’émulsion de famille pour savourer cette ouverture sur le monde…

Photos : Elise Le Pallabre ( et oui ! …)

Même si ce n’est pas ce qui se dit, c’est souvent ce qui se fait !
Grâce à ce titre quelque peu imagé, j’avais envie d’évoquer le pouvoir de l’encouragement, de l’accompagnement.

Ces autres avec qui je suis autre

A la fois dans la famille, dans l’entreprise, dans les médias, nous entendons aujourd’hui beaucoup de discours, de prises de conscience, sur la communication non violente, le management humain, la solidarité. Mais que c’est difficile d’en voir les concrétisations au quotidien, et peut-être même que c’est encore plus ardu d’appliquer ces principes avec nos proches, nos amis voire nos collègues : les gens avec qui l’affect ou la proximité sont présents.

N’est-il pas plus facile de reçevoir un client, de répondre à un inconnu, avec politesse, sourire, écoute, et paroles bienveillantes ? Cela semble fou quand on y pense, pas de bien parler au client bien sûr, mais de ne pas toujours savoir le faire avec ses proches …

Ces proches avec qui je suis mon pire moi

J’aimerais que ce billet ne soit pas reçu comme un jugement, ou une leçon de morale. J’aimerais juste que ce billet nous rappelle parmi tant d’autres sollicitations diverses, cet enjeu à mieux vivre ensemble. Je vous encourage, et je m’encourage en même temps à persister dans notre quête d’une plus grande douceur de vivre. Même si nous avons tous les meilleures raisons du monde de nous en tenir éloignés, et parmi celles-là, juste 2 que j’ai envie de préciser :

L’implication émotionnelle

Avec les proches, nous avons tendance à penser que comme ils nous aiment ou que nous sommes dans un cadre sécurisant, nous pouvons nous autoriser à lâcher sur eux nos frustrations accumulées à l’extérieur. Sans doute aussi qu’avec nos proches, nous ne pouvons pas en rester aux échanges et broutilles de surface, la vie quotidienne nous amène à vivre ensemble des moments plus délicats, d’échec, d’essoufflement, de remise en question. Et si nos proches ont besoin de notre aide, nous sommes tout à fait capables de ne pas être bons du tout ! La pure confiance qu’ils nous font nous destabilise. Leurs faiblesses nous renvoient aux nôtres ou à nos incapacités à les dépasser, et on leur ferait payer ?

Notre habitude qui consiste face aux difficultés de nos proches à :

– mettre la pression : ” quand même c’est facile, y’a K si, un peu de volonté que diable ! , faut te bouger maintenant !
– ou dénigrer ” mais non t’es nul, qu’est ce qu’on va faire de toi ! arrrrh !
– ou à les laisser tomber régulièrement, espérant que le mauvais moment se passe.

Ces attitudes trahissant que nous sommes excédés, cache aussi notre déception quand on se rend compte que nos enfants, parents, amis que l’on voulait ou espérait parfaits, ne le sont pas,  n’y arrivent pas toujours. -Réussir sa vie sur tous les plans- nous voudrions tellement que eux y arrivent, alors que nous-mêmes n’y arrivons pas non plus …

Exemple :
Quelqu’un qui n’a pas fait d’études, qui en priorité financerait celles de ses enfants, avec une attente implicite : l’ obligation pour les enfants de réussir. Ce quelqu’un qui tombe de l’armoire, en cas d’échec de ses enfants, “ces ingrats”, pourrait-on dire ? En leur coupant les vivres, sûrement que les choses vont se rétablir, ils vont décoincer, c’est sûr !

Seulement était-il là ce quelqu’un pour entendre, écouter, accompagner ses enfants lors des difficultés rencontrées pendant leurs études, les problèmes de confiance, les premières amours, et expliquer certains rouages de la vie ?

La difficile mission d’éducation

En opposition avec nos envies d’adulte de vivre des relations humaines apaisées, constructives, s’agitent nos réflexes acquis pendant l’enfance : En 2012, Ils ne sont pas encore si nombreux ceux qui ont reçu une éducation sur le modèle de la communication non violente, ou de la stimulation positive de nos talents personnels.  L’esprit de compétition, la loi du plus fort, la carotte et le bâton sont davantage légion dans nos souvenirs, et du coup dans notre présent aussi.

En conséquence, au milieu d’une situation comme la réception du bulletin de notes de notre enfant chéri, le bouillonnement intérieur ne se fait pas attendre : ” il se fiche de moi, il n’en fout pas une”, tu crois que tu vas sortir samedi avec ces notes là,  etc…” Il faut faire un gros effort pour que ce ne soit pas cela qui sorte de notre bouche (et parfois cela sort quand même..)

En fait la peur de trop chouchouter les gens qu’on aime reste forte :  les assister et si jamais ils n’arrivaient à s’en sortir par eux-mêmes… Trop de douceur serait en décalage avec la dureté du monde extérieur. S’entraîner à la dureté, au rendement, au pragmatique et à l’obéissance, serait une éducation plus proche des réalités. Le vivre ensemble avec écoute et respect viendra plus tard ?

Simplement la carapace acquise à force d’entraînement à nier ses propres besoins et envies, implique des violences faites aux autres : “moi je me suis débrouillé tout seul, donc fais pareil, je ne bougerai pas le petit doigt”….

Pousser l’autre à penser qu’il n’en fait jamais assez,  qu’il est incapable, le pousserait à décupler sa ressource pour se dépasser ? Heureusement Cela semble acquis pour beaucoup que non, c’est contre-productif …mais faire autrement est un apprentissage de tous les instants.

le blog terrrasens, cosmétiques bio de haute efficacité

Il me semble essentiel d’attirer notre attention sur le fait que si nous souhaitons inspirer aux autres d’être acteurs et actrices de leurs vies, que ce soit nos enfants, nos connaissances, nos clients, ce n’est pas les assister que de leur donner un mode d’emploi, des pistes à expérimenter et une attention bienveillante, sans attentes, afin que le moment venu, ils se sentent suffisamment confiants, encouragés, pour aller chercher leurs rêves, réaliser leurs aspirations et changer un bout de monde autour d’eux.

Nous sommes tous pareils, nous avons fondamentalement besoin d’amour, d’attention, et de progresser, afin de devenir peu à peu acteurs de notre vie. Si nous apprécions pour nous-même d’être valorisé, encouragé car cela est motivant à bien faire les choses, rappelons-nous de le faire aux autres aussi. Nous pouvons donner si au préalable nous sommes riches d’estime de soi, de confiance. Nous avons à apprendre à remplir notre réserve d’amour. Au départ on nous donne de l’amour, puis (idéalement) on nous apprend comment en donner, afin de savoir nous en donner à nous-même et le partager.

En écrivant ce billet, je voulais passer le message que certes nous pouvons constater nos travers, nos manques, mais ne pas les juger, ne pas les nier non plus. Notre éducation n’est pas une fatalité, les habitudes culturelles non plus : nous pouvons changer des choses dans notre vie au fur et à mesure, petit à petit. Alors en reparlant de ce pouvoir de l’encouragement aujourd’hui, je me dis que c’est juste une petite pierre de plus à la construction d’une société plus cohérente.

Que chacun tienne l’échelle pour un autre (et vice versa) ou l’aide à fixer l’échelle solidement, afin que l’artiste au pinceau, présent en chacun de nous peigne sereinement et avec le goût de créer du beau ! Tout le monde en sera comblé, et inspiré. ICI ET MAINTENANT.

Finalement

Il s’agit en fait d’amour inconditionnel : Vivre avec l’autre sans attentes, accompagner, partager, en le laissant libre de ses expériences. En n’attendant rien de précis, nous reçevons bien plus et de tous horizons, que si nous espérons reçevoir quelque chose de la part de quelqu’un en particulier. Alors prenons soin de notre bien-être, aidons les autres à respecter le leur aussi, et laissons la vie s’occuper du reste, c’est à dire de nous faire de belles surprises…

Ce que je raconte sur la peau, les crèmes, et l’existence est intimement relié : tout ne se fait pas en 1 jour, et nous ne réalisons pas toujours les freins qui nous freinent ( pertinent !) pour se sentir actrice de son bien-être, de sa vie. Mais si le frein est levé, alors…

C’est dans cet esprit que j’ai imaginé mes soins Heuliad : une façon de concrétiser du bien-être au quotidien. Mes soins, c’est ma façon à moi de faire vivre cette idée d’encouragement : encourager la peau, s’encourager soi-même, et encourager l’autre à regarder la vie (la beauté) sous tous les angles, pour gagner en liberté, et surtout la sentir en SOI. Que c’est bon de sentir ça !

Non ?

Je suis au bout de l’écran pour répondre à vos questions, au plaisir !

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